D’un point de vue général, la vie des égyptiens dépend de la nature. Il semble qu’ils usent d e quelques éléments de la nature tels que le soleil, la lune ainsi que les étoiles pour analyser certains aspects ou encore finalités de leur existence. Dans un même temps, leur rite et leur culture en dépendaient aussi ; avant de bâtir quelques choses comme les tombes ou les divers monuments, ils doivent tout d’abord observer et analyser le mouvement des astres afin de connaître le moment opportun.
En principe, les équinoxes ainsi que les solstices importent beaucoup pour les égyptiens en particulier les astrologues. Pour eux, une année est répartie en trois différentes saisons et en même temps, une douzaine de lunaisons peut également la déterminer, c’est à peu près l’équivalent des 12 mois du calendrier grégorien. Ainsi chaque lunaison est adéquate à un chiffre particulier, puis elle est divisée en trente jours et chaque jour est équivaut à 24 heures où une moitié est dite jour et une autre dite nuit. Il existe pareillement des animaux sacrés au nombre de douze à l’exemple du chat, chien, serpent, lion…, liés convenablement à chaque heure.
Par ailleurs, dans la partie de la Haute Egypte, le soleil est considéré comme le moyen le plus fiable qui permet de connaître la venue des pluies. L’époque de l’Egypte ancienne fut l’une des périodes les plus connues en ce qui concerne le sujet « croyance aux inévitables destins ». Et à propos des procédés et principes de l’astrologie, les égyptiens en tiraient des informations généralement dans les temples et en réalité, ce sont les « Horoscopoi », maîtrisant l’étude de l’heure, qui sont les premiers à avoir droit à ces techniques et qui en font part pour ceux qui en ont besoin.
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